Abou chez Vladimir Vladimirovitch
29/06/2010 à 18:17 | Publié dans Anti-(In)secte | Laisser un commentaireÉtiquettes : abou, expat, mandarin, marius
Abou a dit :
« L’insulte, le plus souvent, témoigne d’un manque de contrôle de soi, et aussi d’une pauvreté dans l’expression.
Mais moi je fais voeu, et oeuvre, de pauvreté, lorsque je relève la préciosité, l’affectation de certains commentaires, qui pointent avec délectation la vulgarité de l’autre.
C’est leur dada, à ceux-là, démontrer comme eux ne sont pas vulgaires ! Je dirais même une obsession, ça les rassure apparemment… Etrange, n’est-il pas, cher Pouet Pouet ?
Je pense à Marius, à Usbek, à vous Expat…
Ce type d’écriture complaisante, limite masturbatoire, est aussi le reflet d’une pensée évidemment réactionnaire. Ca se pose en gardien de l’ordre ! »
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